PETIT LEXIQUE POUR MIEUX COMPRENDRE CE JOLI SPORT

 

Arbitre :
sa tâche est ardue, empêcher trente gars forts comme des taureaux qui en viennent déjà aux mains et aux pieds, d’en venir aux poings et aux coups de boule … accessoirement, assimiler les règles les plus compliquées de tous les sports collectifs

Avantage :
tant que le ballon profite à la victime d’une faute, on le laisse vivre ; règle généreuse qui permet de légaliser une certaine notion d’arbitraire dans un sport où joueurs, commentateurs et spectateurs s’adonnent trop volontiers à leur instinct

Ballon :
objet particulièrement ridicule, de forme ovale qui rebondit n’importe comment et qui glisse des mains quand il est humide ; il attire la convoitise de l’homme qui le possède, d’où l’intérêt des passes

Botteur :
spécialiste du coup de pied, c’est lui qui tente les transformations en visant entre les poteaux, au-dessus de la barre transversale ; accessoirement, l’agent soporifique du jeu mais que l’on pardonne s’il transforme correctement

Carton :
celui de couleur jaune vise à avertir un joueur belliqueux mais que l’arbitre juge tout paternaliste qu’il ait, capable de se calmer 10 minutes derrière les poteaux adverses ; celui de couleur rouge est par contre synonyme d’expulsion immédiate ; dans un cas comme dans l’autre le voyou n’est pas remplacé

Chandelle :
terme technique et vaguement poétique (en anglais, cela donne up and under) qui désigne un tir au pied dirigé vers les nuages, supposé mettre la pression sur l’arrière (15) à sa tombée

Demi de mêlée (9) :
c’est celui qui glisse le ballon dans le couloir formé par les deux 1ères lignes de la mêlée (1, 2, 3) puis le transmet au demi d’ouverture (10) ; berger du troupeau d’avants, vous l’entendrez avant de le voir

Drop-goal :
c’est l’action pour un joueur isolé de tenter, par un coup de pied précédé d’un rebond, de faire franchir au ballon la barre transversale entre les poteaux ; geste audacieux et difficile qui peut rapporter trois points faciles à son équipe

En-avant :
le grand paradoxe du rugby, c’est d’aller de l’avant en passant la balle exclusivement en arrière ; si l’en-avant est involontaire, l’arbitre décrète une mêlée, s’il est intentionnel, vous serez sanctionnée par une pénalité

Essai :
c’est le toucher du rugby sauf qu’ici il faudra qu’il y ait contact entre le joueur, le ballon et le sol pour que l’arbitre valide l’essai ; la zone demeure la même, derrière la ligne des poteaux et se nomme dans l’en-but

Fair-play :
à l’origine, la bourgeoisie anglaise voyait dans la pratique de ce jeu un excellent moyen d’inculquer la notion de solidarité à la jeunesse aisée de l’aristocratie anglo-saxonne, d’où la définition " a barbarian sport played by gentlemen "

Fermé :
tout comme l’angle auquel l’expression le rattache, car s’il s’agit bien d’aller de l’avant au rugby un essai pour marquer, le jeu passera souvent latéralement d’où des grands côtés dit ouverts à l’opposé des petits dits fermés mais tout aussi bons à jouer car souvent oubliés par la défense adverse

Gazon :
magnifique dans certains clubs, il peut s’avérer pratiquement absent dans d’autres comme réduit en poussière ; sa qualité joue pourtant sur le moral des troupes et le jeu pratiqué peut en sortir plus ou moins gagnant

Gueule :
ce sport modèle le corps tout entier avec une préférence pour la face ; regard conquérant, nez écrasé ou autres oreilles décollés sont une caractéristique du joueur de rugby d’où les célèbres bandeaux et autres casques

Haie d’honneur :
coutume de l’aube du rugby qui consiste à saluer en signe de respect la combativité de l’adversaire et qui se poursuit autour d’un verre dans les balbutiements de la troisième mi-temps

Hors-jeu :
tout joueur qui se tient hors de son camp, dans celui de l’adversaire entre le ballon et la ligne de but adverse, est hors-jeu et sera sanctionné par une pénalité ; les joueurs entre eux et souvent l’arbitre avertissent avant de sanctionner

Interdictions :
sous prétexte de la beauté du jeu, il est interdit de se coucher sur le ballon et d’attendre calmement que les autres t’écrasent ou te chatouillent pour le récupérer ; autre règle essentielle, il est défendu de plaquer un joueur sans ballon

International Board :
c’est le conseil d’administration du rugby international qui décide et sanctionne tout en buvant du thé ; il a longtemps été garant du respect de la tradition d’amateurisme du jeu à quinze

Joug :
la version française du scrum machine est un instrument de torture où l’on y attelait autrefois les bœufs jusqu’au jour où un coach sadique eut l’idée de reprendre le principe pour fabriquer un simulateur de mêlée ; une idée brillante mais douloureuse

Juge de touche :
ils sont deux et signalent l’emplacement des remises en touche ; à certains niveaux de compétition ils peuvent être officiels et deviennent alors de véritables assistants de l’arbitre de champ tout en demeurant sur leur ligne

Kilos :
ils déterminent souvent le positionnement du joueur sur le terrain même si ce truisme est de moins en moins vrai dans le rugby moderne ; cela dit, ce sport demeure basé sur le contact et ces fameux kilos, qu’ils soient de muscle ou de graisse, s’avèrent des plus précieux quand il s’agit de percuter l’adversaire

Kiné :
le précieux assistant médical, généralement accompagné d’une éponge dite magique, il est souvent plus utile que le coach le jour du match, capable de soigner le tout petit bobo comme de ressusciter le vieux guerrier boiteux qu’on croyait fini à jamais

Libération :
mot clé du vocabulaire rugbystique aussi bien employé dans le contexte d’une victoire vécue comme un soulagement que dans celui plus traditionnel de l’accouchement d’un ballon à la suite d’un regroupement

Licence :
la carte obligatoire pour pouvoir être affiliée à la fédération, sur laquelle on trouve une photo d’une personne en civil parfaitement normale mais qui quelques heures plus tard sur le terrain se révélera sous une toute autre personnalité

Maul :
valse collective et technique à l’instigation d’un joueur rapidement rejoint par d’autres qui décident de l’empoigner sous les épaules de lui pousser dans le cul ou de faire le pont par-dessus bref de surtout pas l’abandonner dans le pétrin pour que vive le ballon

Mêlée :
slow collectif qui voit s’arc-bouter au total 16 joueurs ; chaque équipe dispose de trois lignes successives, la 1ère est composée du talonneur (2) entre ses deux piliers (1 et 3), la 2ème de deux joueurs (4 et 5) et la 3ème de trois (6, 7 et 8), le demi de mêlée introduit le ballon au milieu avant de la récupérer et voir l’édifice se disloquer voire parfois s’écrouler

Nostalgie :
les aînés ne peuvent s’empêcher d’évoquer le temps glorieux où ils jouaient ; à cette époque, les entraînements étaient facultatifs, les matchs plus rudes, le niveau plus élevé, les troisièmes mi-temps plus grandioses, la météo moins pourrie, l’amitié indestructible, les arbitres moins cons, le public plus nombreux, les rapports sexuels plus fréquents… bref c’était mieux avant

Numéros :
au début du siècle dernier, les joueurs n’étaient pas numérotés ; si la pratique a disparu, certaines équipes utilisent par contre les lettres de l’alphabet au lieu des numéros traditionnels

Passes :
art de transmettre à la main un ballon à un coéquipier situé obligatoirement en arrière de soi ; geste apparemment simple mais qui s’avère d’une technicité redoutable en pleine vitesse et sous pression

Placage :
mathématiquement il suffit de plonger dans les jambes, de resserrer l’étreinte et l’adversaire tombe ; dans les faits il faut avoir envie, éviter si possible que son adversaire prenne son élan maximum et se dire qu’on est capable

Qualité :
la qualité d’un match de rugby se résume à ses deux mi-temps de 40 minutes chacune mais également à sa troisième mi-temps, la plus redoutable de la journée réservée aux plus endurants et surtout aux bons vivants où l’alcool et les chansons remplacent le ballon

Quinze :
c’est le nombre maximum de joueurs de chaque équipe accepté sur le pré ; ce chiffre est parfois ramené à 13 mais également à 10 et 7 avec des spécificités de règlement mais la toujours sacro-sainte passe en arrière

Raffût :
bousculade du possesseur du ballon à l’aide de son bras libre à l’égard du défenseur qui caresse l’espoir de lui subtiliser le ballon, geste technique qui apprend aux défenseurs à se baisser au plaquage

Renvoi :
quand le ballon pénètre la zone d’en-but, non porté par un joueur, s’il touche terre et qu’il est aplati par un défenseur, on procède à un renvoi au 22 mètres qui est joué au pied ; si c’est le défenseur qui rentre lui-même dans la zone et aplatit, c’est une mêlée à 5 mètres, avec introduction pour l’équipe qui attaque

Sac des gilets :
incontournable au même titre que la trousse de premier soin, ne serait-ce que pour le bon déroulement de la partie ; il mérite toute l’attention du responsable mais s’oublie rarement en raison de l’odeur incroyable qu’il dégage après un match

Séances d’entraînement :
supposées obligatoires pour les joueurs impliqués qui souhaitent s’améliorer, elles se tiennent généralement en soirée dans la semaine avec généralement moins de monde que prévu et se terminent par une petite bière bien méritée mais jugée par trop comme facultative

Tee :
coquetier géant sur lequel le botteur pose amoureusement le ballon avant une transformation ou un coup de pied de pénalité ; il permet de réduire les arrêts de jeu au minimum en remplaçant la traditionnelle motte de terre ou de sable

Touche :
on dit qu’il y a touche quand le ballon, porté ou non, traverse l’une des deux lignes latérales qui bordent le terrain ou quand un pied du porteur la touche ou la franchit ; la remise en jeu se joue alors à 5 mètres de la ligne perpendiculairement à l’endroit où le ballon est sorti et nécessite un minimum d’un joueur

Union :
elle fait la force mieux que nul part au rugby car le terrain n’est pas si large que cela, compte-tenu du physique et surtout du nombre des joueurs ; l’épreuve de force que représente la mêlée ordonnée la magnifie un peu plus encore

Uppercut :
coup de poing à l’origine d’une phase spectaculaire du rugby communément appelée mêlée relevée ; consécutif à une tendresse subtile du deuxième ligne sur le visage du talonneur adverse ; avantage, ça soulage, inconvénient, c’est totalement interdit et sanctionné par l’arbitre

Vaseline :
le rugbyman adore se muer en savonnette et s’enduire le visage de vaseline, en particulier les avants dont la promiscuité en mêlée et surtout la rigidité de leurs shorts abîment leur doux visages

Vingt-deux mètres :
ligne qui inaugure une zone de tous les dangers pour la défense tout particulièrement quand elle se fait bombarder de coups de pieds ; solution offerte par le législateur, l’arrêt de volée qui permet au joueur en difficulté de se sortir de la situation en réceptionnant le ballon sans l’échapper et surtout en gueulant " marque "

William Gilbert :
cet homme, qui exerçait au bon vieux temps des pionniers du jeu, à Rugby, en Angleterre, la profession de cordonnier, fut l'artisan numéro un du rugby ; il mit au point le premier ballon en cuir, composé de quatre panneaux recouvrant la vessie de porc ; plus tard elle fut remplacée par une vessie en caoutchouc. ce qui aida encore à parfaire l'ovale du ballon

Williams Webb Ellis :
au XIXè siècle lors d’un match de soccer devenu célèbre, ce jeune garçon, originaire de la ville anglaise de Rugby, s’empara du ballon à la main, puis avec une étrange lueur dans les yeux, courut le poser derrière le but adverse
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- Le Grand Chelem : consiste à gagner tous ses matches du tournoi. Toutes les équipes savent le faire sauf pour l'instant l'Italie, mais il n'y a que 4 ans qu'elle participe au Tournoi.
L'Irlande l'a fait une fois, l'Ecosse trois fois, le Pays de Galles 5 fois, la France 7 fois et l'Angleterre 12 fois. Mais elle a probablement triché.

- La Cuillère de Bois : consiste à perde tous ses matches (5) du tournoi.
Toutes les équipes savent le faire. L'Italie mieux que les autres actuellement, mais il n'y a que 4 ans qu'elle participe au Tournoi.
D'ailleurs cette année elle a déjà gagné un match.

- Le paradoxe fondateur : les règles du rugby sont assez compliquées, mais son principe fondateur en est très simple et conditionne beaucoup l'esprit du jeu. Il consiste à aller porter un ballon derrière la ligne d'en-but adverse, située devant toi, mais en faisant des passes vers l'arrière.
Ca complique un peu l'affaire, mais c'est amusant.

- Le ballon : objet ovale qui rebondit n'importe comment.
Pas d'utilisation prolongée sans avis médical. Au-delà de 3 secondes dans tes mains, le ballon devient dangereux pour ta santé. Risque de chutes d'armoires à glaces (non prévues par la météo) sur le porteur du ballon.

- L'équipe : Comme la terre, elle est organisée en trois pôles. Les avants, la charnière et les arrières. En raison du paradoxe fondateur, les avants sont principalement dévolus à la défense et les arrières à l'attaque, mais ces notions sont un peu plus subtiles que dans les sports anormaux pour lesquels le ballon est rond.

- Les avants : Les avants (aussi appelés les bulldozers ou déménageurs) sont au nombre de 8, organisés en trois lignes qui se matérialisent lors de la constitution d'une mêlée dite ordonnée. La première ligne est composée de deux piliers et d'un talonneur. Leur QI atteint rarement leur poids, mais ils sont d'une importance capitale. En dehors de l'aspect réglementaire du poste qu'ils occupent, ils sont aussi chargés d'assurer la justice sous la mêlée en dehors du regard indiscret de l'arbitre (ex. morsures d'oreilles, fourchettes dans les yeux etc...).
Si on les écoutait un peu, on croirait qu'ils font le boulot des trois lignes d'avants à eux seuls.
Les avants sont aussi sollicités pour les touches, ils forment un bel alignement face à leurs camarades adversaires et le talonneur (numéro 2) lance le ballon entre les deux lignes. Rien ne précise dans le règlement que ce doit être le numéro 2 (enfin je ne crois pas) mais dans la pratique c'est comme ça.
On appelle également les avants "le pack". Peut-être en raison de leur résistance à la pression (mousseuse ou non).

- La charnière : les intellectuels. Au nombre de 2, ils sont chargés d'organiser le jeu. Ils gèrent la distribution du ballon à la sortie des regroupements. On les appelle aussi les demis (leur nécessaire acuité intellectuelle leur interdit d'absorber un pack entier). Le demi de mêlée, numéro 9, est chargé de l'introduction du ballon dans ladite mêlée. Le demi d'ouverture est chargé de récupérer le ballon et s'en débarrasser le plus vite possible. Il est fréquent qu'il ait un bon coup de pied et qu'il soit donc chargé de tirer les pénalités et les transformations d'essais, mais ce n'est pas obligatoirement lui. Un demi d'ouverture porte le numéro 10. Probablement parce qu'il a 10/10 aux deux yeux (sauf après un coup dans la figure, ce qui n'arrive presque jamais!!!).

- Les arrières : les Formules 1. Dès que le demi d'ouverture leur transmet le ballon, les arrière se mettent à courir très vite. Hélas pour eux, leur vis à vis est fort enclin à les flanquer par terre dans un geste élégant et technique appelé le placage. Ils sont au nombre de 5. Les trois-quarts (deux centres et deux ailiers) et un arrière, chargé de dégager son camp quand le ballon s'approche un peu trop de sa propre ligne d'en-but. Lui aussi est doté d'un bon coup de pied. Il lui arrive aussi de taper les pénalités et les transformations. Ils ont tous cinq une fonction de finisseur, en galopant vers les lignes ennemies, mais aussi de dernier rempart en cas d'attaque rapide de l'adversaire, en raison de leur position en arrière. Ils doivent plaquer comme pas deux. D'ailleurs quand l'adversaire s'appelle Jonah Lomu (ailier néo-zélandais de 1m95 et 120 kilos), ils doivent se mettre à 5 pour le mettre par terre.

- La France : sans conteste la meilleure équipe du monde. Autorise parfois les autres à la battre pour maintenir un semblant de glorieuse incertitude du sport. En France, on ne joue au rugby qu'au sud d'une ligne Arcachon-Grenoble. Il existe toutefois une équipe parisienne à qui il arrive d'avoir des heures de gloire (4 titres de champions de France récemment).
Ce découpage géographique est à l'origine d'un paradoxe : la production du rugby champagne se fait au sud de la Loire. Le rugby champagne est un rugby pétillant faite de panache et d'enthousiasme. Il s'agit d'un monopole français. Les Britanniques essaient parfois d'en faire, mais on parlera alors de rugby mousseux. Le joueur français est solide, talentueux et l'exemple même du fair-play et de la fraternité (ex : lors d'un match Galles (maillot rouge) - France (maillot blanc), le capitaine français de l'époque, Jean-Pierre Rives - dit Casque d'Or en raison de
sa crinière blonde - n'hésita pas à témoigner son amitié pour l'adversaire du jour en teignant son propre maillot en rouge, utilisant pour cela son propre sang). Les autres équipes ont peur du XV de France mais elles ne le montrent pas. Elles ont le droit d'avoir leur fierté.

- L'Angleterre : l'ennemi héréditaire. Ose être titulaire de 11 grands chelems alors que la France n'en a que 8. Ose fournir des sujets de film à Luc Besson en brûlant des lorraines en Normandie. Le seul exploit de
l'Angleterre est d'avoir réussi à se faire haïr par toutes les autres nations du Tournoi. Actuellement, l'équipe d'Angleterre dispose d'un demi d'ouverture qui réussit tout ce qu'il entreprend. C'est énervant.
Les Anglais l'appellent "Johnny Wilkinson". Les autres l'appellent "Face de Cul de Mammouth".

- Le Pays de Galles : Que dire d'un pays dont l'emblème est un poireau? Rien.

- L'Ecosse : Allié traditionnel de la France contre l'Angleterre. Le match opposant l'Angleterre à l'Ecosse est une compétition dans la compétition: on y joue la Calcutta Cup (objet horrible et informe comme ne savent le faire que les Anglais), remise en jeu tous les ans. A l'occasion de ce match (et de ce seul match), les joueurs écossais ont l'autorisation de boire un whisky avant d'entrer sur la pelouse. Pour se donner du courage face à l'ennemi héréditaire (authentique). Les Écossais aiment tellement les Français qu'ils les laissent gagner. Cette tradition doit être perpétuée.

- L'Italie : Une jeune nation pour le rugby. Elle poursuit son apprentissage. Elle ferait bien d'apprendre vite. Sinon il risque d'y avoir des morts. Mais ils donnent des signes encourageants. Ils arrivent maintenant à tenir physiquement sur toute la durée d'un match. Il leur faut maintenant parvenir à plus de cohésion et de discipline.
Discipliner des Italiens ... J'en ris encore.

- L'Irlande : Autant la France est garante du beau jeu (rugby champagne), autant l'Irlande est garante du jeu de m..... (rugby Gévéor).

- Enfin, le match se joue en 2 mi-temps de 40 minutes chacune séparées par un repos de 15 mn. Les mi-temps peuvent être entrecoupées de temps de repos forcés pour soigner les blessés éventuels. A la fin du match,
une 3éme mi-temps (mais ne devrait-on pas dire tiers temps) a lieu pour une nouvelle confrontation entre les équipes mais cette fois-ci au bar et au restaurant....

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